Développé avec Berta.me

  1.  

    Un jour à la radio j’ai entendu le mot «Beyrouth». Sur ma table de chevet, au même moment se trouvaient deux livres : l’un de Wajdi Mouawad, l’autre de Khalil Gibran. Plus tard, le solo de  trompette d’Ibrahim Maalouf résonnait de nouveau sur les ondes. 

    C’est ainsi que je me suis dit que l’on n’ignore pas un appel du bout du monde.

    Je me suis rendue au Liban.